Bien déguster votre spiritueux suppose le bon choix de ce dernier selon votre appréciation et votre convenance. Le choix d’un coffret comme Whisky du Monde peut vous permettre de déguster différentes saveurs. Découvrez à travers cet article toutes les informations liées à sa composition et à la bonne manière de consommer la boisson. Whisky et rhum un mariage inattendu, par exemple, offre des possibilités insoupçonnées.
Pour votre plaisir, ces coffrets regroupent chacun six différents tubes de 25 ml pour goûter à la saveur de chaque spiritueux. Chacun de ces tubes contient un spiritueux bien spécifique. Ils proviennent tous des plus grandes distilleries du monde et proposent des goûts et odeurs qui leur sont propres.
Conceptualisé par Nantou Distillery, le Yushan est fabriqué en Taiwan à partir d’orge maltée à 100 %. Il s’agit d’un mélange de xérès et de single malts, vieillis en fûts de bourbon. Sa composition alcoolique reste de 40 % avec une coloration ambrée et brillant. Il demeure caractérisé par une odeur de céréales grillées, de pomme verte, de miel de thym ou de muscade. Il a un goût d’épice douce, mielleux, de caramel et de biscuit au beurre.
Ce fut le premier spiritueux monograin produit en Afrique du Sud à Wellington. Il a été produit dans la distillerie de James Sedgwick. Ce spiritueux est affiné dans des fûts de bourbon de premier remplissage durant 03 ans avant de passer deux autres années dans des fûts de bourbon frais. Il est produit à base de maïs jaune uniquement et sa composition alcoolique est de 40 %. Il a un goût doux à la poire fraiche.
D’origine suédoise, le Mackmura est fabriqué à base des arbres plantés sur l’île de Visingö il y a 100 ans. Il a un caractère épicé avec des notes d’arbre de senthal, de poivre noir, de gingembre séché, d’herbe et de fût toasté. Sa composition alcoolique reste de 46,1 % avec un goût doux et fruité lui donnant des notes de caramel, de miel et d’agrume.
Il s’agit d’une boisson alcoolique élaborée avec de l’orge dans le nord-ouest de l’Inde. Il est vieilli dans d’anciens et vierges fûts de bourbon lui donnant un goût épicé avec des notes de fruits mûrs. Son degré alcoolique est de 46 %.
Langatun Old Bear (40%)
Ce spiritueux est fabriqué en Suisse dans la brasserie et distillerie de Langatun. Il est fumé, malté et vieilli dans de fût de chêne Châteauneuf-du-Pape. Cela lui donne une coloration brun rougeâtre avec une odeur aromatique fruitée et épicée. Il dispose d’une composition alcoolique de 40 %.
Il représente un mélange de spiritueux classiques d’origine canadienne. Il est fabriqué à base d’alcool de 6 ans au moins avec un goût épicé et crémeux, mi-corsé avec du miel. Sa teneur en alcool est de 40 %.
Il reste important de rappeler qu’outre ce coffret de dégustation, il en existe de nombreux autres que vous pouvez retrouver par exemple sur www.whiskybox.fr/.
La consommation d’une boisson de plus de 40 % tôt le matin dans un estomac vide n’est pas conseillée. Pour bien déguster votre boisson, il reste souhaitable de le prendre vers 11 h comme apéritif avant le déjeuner. Cette boisson doit-être prise à une température ambiante et sa consommation à midi ou dans l’après-midi peut vous empêcher de savourer le vrai moment de plaisir qu’elle vous offre. La baisse de température dans la soirée constitue une condition idéale pour la prise de votre spiritueux. Il peut être toutefois consommé au cours de votre spongieux repas comme accompagnement ou à la fin du repas pour une bonne digestion. Il reste cependant nécessaire de connaître ce que vous achetez et de choisir votre boisson en fonction de votre met pour bien profiter des saveurs du monde regrouper dans la boite. Il peut être dégusté sous forme cocktail pour les plus frileux. Cette eau-de-vie peut toutefois être consommée à sec ou avec de la glace.
Cet alcool reste bénéfique pour la santé. Sa consommation modérée empêche une prise de poids et contribue au bon fonctionnement du cœur. Il peut également amoindrir le risque du cancer à travers l’acide éllagique qu’il contient. Cette boisson facilite aussi le bon fonctionnement du cerveau lorsqu’elle est consommée avec modération. On ne peut non plus oublier les bienfaits apéritifs et digestifs de cette boisson qui sa consommation après un repas calme votre appétit et stimule la digestion.
Collectionner les bouteilles de rhum ne revient pas uniquement à garder les grandes marques. Les collectionneurs conservent également les rhums les plus chers et les moins chers. Entre autres, ils ont différentes marques de rhum du haut et du milieu de gamme. Voici quelques idées sur les rhums qui devraient être visibles dans une collection.
Voilà déjà deux variantes de rhum qui se doivent d’être présentes au sein d’une collection. Le rhum blanc est reconnaissable grâce à sa couleur claire même lorsqu’il est mis en bouteille. Il est caractérisé par une saveur assez douce en plus d’un corps léger comparé à ses homologues. C’est un genre de rhum qui s’utilise souvent pour la création de cocktails, dont le mojito ou encore le daiquiri. Le rhum de martinique peut aussi servir à accommoder ces compositions. Les rhums blancs sont généralement commercialisés à 80 degrés. D’habitude, ils sont vieillis avant leur filtration qui leur retirera leur couleur. Il est à noter que ce sont des rhums qui sont parfois moins cher comparés aux rhums matures.
Pour leur part, les rhums ambrés s’adoucissent dans des barriques pour parvenir à leur teinte. Ils ont un goût plus prononcé que le rhum blanc. Afin de donner une meilleure consistance aux bouteilles de rhums ambrés, l’ajout de colorants est parfois nécessaire. Des saveurs subtiles, telles que le caramel ou encore la vanille et le coco sont souvent associées au rhum ambré. Les collectionneurs possèdent également des bouteilles de ce type de rhum qui complètent assurément leur collection. Ils sont également moins chers que les rhums ayant mûri pendant des années.
Il n’est pas envisageable de se proclamer collectionneur de rhum sans avoir ces deux catégories dans sa collection. Divers types de rhums vieillis sont également appelés rhums foncés. Ils sont reconnaissables de par leur couleur. Ils ont été mis en fût de chêne pendant assez longtemps. Un rhum agricole qui a mûri pendant au moins trois ans peut être considéré comme étant du vieux rhum. Toujours concernant les rhums vieux, il faut savoir que ce sont souvent des rhums qui s’utilisent dans l’élaboration de cocktails. Ils sont bien plus savoureux que le rhum blanc. Qui plus est, le rhum vieux a tendance à être épicé et aromatisé en même temps.
Quant au rhum noir, il représente la gamme de rhum la plus foncée qui soit. C’est d’ailleurs ce qui lui vaut son appellation de dark rum. Il s’agit là d’un autre incontournable pour un collectionneur. Dans ce cas, la boisson est surtout faite à base de mélasse en plus du caramel. Ce dernier est parfois brûlé pour renforcer la teinte foncée de cet alcool. Le rhum noir a souvent cuit pendant une longue période. Il peut même avoir été carbonisé. C’est une boisson célèbre sur les territoires britanniques tels que les îles Vierges ou encore les Bermudes.
Un collectionneur de rhum se doit de compléter sa collection à l’aide de ses deux variétés. D’abord, le rhum âgé ou encore rhum premium se reconnait grâce à son profil aromatique. Comme le rhum guadeloupe, il bénéficie d’une notoriété mondiale. Il a été mis en chêne pendant de longues années. Il présente des saveurs exquises et plus matures. Sur les terres espagnoles, le rhum premium porte souvent l’étiquette « anejo ». Il accompagne les coupes de glace et peut se déguster à l’état pur. C’est une catégorie de rhum qui est à la fois savoureuse et riche.
Le rhum vintage est le plus souvent visible aux États-Unis. Il est composé de différentes sources qui se mélangent avant sa mise en bouteille. Les rhums vintages sont pour la plupart visibles sur les îles françaises. Ils sont mis en bouteille lorsque la maturité est à son apogée. Ce sont des rhums en édition limitée et c’est pourquoi ils doivent figurer dans le catalogue du collectionneur.
Êtes-vous un amateur d’alcool particulièrement le rhum ? Plus il est vieux, plus il est bon. Si vous souhaitez acharner vos proches, amis ou familles avec une dégustation de rhum, pensez à leur offrir du rhum vieilli d’une façon traditionnelle. À part les étapes de préparation jusqu’à l’obtention du rhum, il est recommandé de passer l’étape de vieillissement, un procédé qui rend le rhum unique avec un gout authentique de qualité supérieure.
Étant donné que le rhum est un alcool dont le degré est réduit d’une façon convenable, il est ainsi mélangé avec de l’eau purifiée. Ce mélange permet de réduire l’agressivité du rhum en gardant son gout et son intensité. Pour un gout authentique et un mélange parfait, ce procédé doit se faire le plus lentement possible. Une fois que la fermentation et la distillation sont entamées, les rhums peuvent directement mis en bouteille, mais le vieillissement de rhum est un phénomène complexe servant à garder l’harmonie du rhum.
Une fois sorti de la colonne à distiller, un bon rhum doit passer par une étape importante. Après avoir choisi le rhum idéal, il faut prévoir une quantité suffisante pour atteindre le volume de remplissage exact. Vous auriez également besoin d’un fût pour stocker le mélange. Pour être plus pratique, il est possible de choisir des fûts avec un robinet. La matière en bois va ainsi absorber le gout spiritueux pour les remplacer par des arômes tanniques. Le fût est conçu à partir de chêne pour obtenir des rhums élevés sous-bois, ambré ou paille. Ce type de fût peut contenir des milliers de litres de rhum qui est assez bénéfique, car ce volume suffisant permet d’adoucir le contenu pendant un temps de repos suffisamment long. Pendant cette période, l’alcool a tendance à s’évaporer et cette évaporation est appelée part des anges. Ce phénomène peut être limité en ajustant la quantité des fûts. Le temps pour un vieillissement de rhum peut aller de 3 à 5 ans. Les fûts remplis peuvent être mis dans différents endroits ; dans une cave, à quelques mètres d’altitudes et même sous la mer dans un environnement glacial ou tropical. Il est à noter que plus un rhum est vieux, plus sa qualité est supérieure.
Un rhum vieillit est un rhum parfumé selon la nature du bois utilisé pour la conception du fût. Chaque pays peut utiliser un bois spécial originaire de son pays pour donner un arôme naturel. Le vieillissement de rhum peut également être un art, car certains pays dans le monde ne procèdent pas à cette étape. Le traitement est également personnalisable, car des épices comme le grain de poivre, des clous de girofle et même la cannelle, peuvent être rajoutées à la recette.
Vous voulez conserver le rhum, votre boisson préférée. Vous savez déjà que les liquides alcoolisés n’ont pas de date limite de consommation, donc vous pouvez les conserver aussi longtemps que vous vous voulez. Mais avec le temps, ils peuvent se changer et perdre leurs goûts originels. Alors vous vous demandez quelles méthodes utiliser pour maintenir leurs saveurs primitives. Pour vous aider, des informations utiles sont proposées dans l’article suivant.
Il faut conserver la bouteille à la verticale : les spiritueux ne vieillissent pas en bouteille comme les vins. Il est donc judicieux de garder les bouteilles de rhum débout pour que les bouchons n’atteignent pas l’alcool et risquent de l’altérer et de lui faire perdre sa qualité. À défaut de posséder une ligne d’embouteillage industriel, il est difficile de fermer la bouteille sans y laisser un peu d’oxygène. Donc, afin de prévenir toute dégradation de l’alcool, il faut se conformer à la disposition de prudence concernant les bouteilles ouvertes. Limitez l’oxydation : une fois la bouteille ouverte, il est presque inévitable d’échapper à l’oxydation. La solution est de faire passer le rhum des bouteilles qu’on vient d’entamer dans des petits flacons de sampling. Ce simple procédé réduit l’oxydation permettant une bonne conservation de rhum.
Il faut se garder des endroits trop chauds : en général, les spiritueux ne sont pas vulnérables ou changement de température, mais il faut éviter tout risque inutile. N’exposez pas vos bouteilles de rhum à une température trop élevée. Cette recommandation s’applique surtout aux liqueurs à base de fruits et aussi aux boissons de base laitière. Pour ces dernières, on peut les conserver au réfrigérateur sans aucun risque de les alterner. Il faut également éviter les endroits trop lumineux : lorsque les bouteilles sont entamées, trop de lumière naturelle risque d’alterner les liqueurs. En partie, cette consigne conserve aussi tous les spiritueux de type rhum ou whisky. La conservation du rhum peut se faire en mettant la bouteille dans la boite ou l’étui dans lequel elle a été vendue.
Cette première technique est simple. Après quelques semaines, pendant lesquelles le rhum s’est oxydé, il faut couper l’oxydation en déposant les billes de verre dans la bouteille, de façon à faire revenir le rhum à la hauteur du goulot. Dès ce temps-là, il n’y aura plus d’oxydation. La deuxième technique est compliquée et demande un peu d’effort, surtout si on a pas mal de bouteilles ouvertes. Il s’agit d’extraire de la bouteille l’oxygène en utilisant une pompe avec une aiguille. Grace à l’aiguille qui traverse le bouchon, on peut extraire l’air de la bouteille. La troisième technique est le moyen le plus radical pour la conservation du rhum. Il s’agit d’utiliser un appareil permettant de servir des boissons sans avoir à ouvrir la bouteille. Ainsi, en aucun temps, le rhum n’entre en contact avec l’air.
Depuis de nombreuses années, les Français s’affaissent sous la délectation de l’eau de vie de la canne à sucre, le rhum. Cependant, bien que le goût de ce nectar soit millésime, la consommation journalière de cette boisson spiritueuse simple a régressé. Cet élixir à base de canne à sucre venant d’Asie ou de sous-produits de l’industrie sucrière (de mélasses) est d’origine américaine où son essor est né à l’époque coloniale. Ainsi, il existe trois types de rhums bien distincts : britannique, espagnol et français.
Ce type de rhum communément appelé « rum » ou « Navy Rum » est une boisson typée et plus lourde, très aromatisée aux accents épicés. Le rum blanc ou vieux, est une production industrielle à base de mélasses que l’on peut passer, en général, par deux distillations : un alambic ou à colonne (simple ou double), permettant de lui donner une consistance huileuse. Le Navy rum est produit dans de nombreuses îles telles que la Jamaïque, la Barbade et à Bélize ; également en Guyane dans la région de Demarara, colonies britanniques. En effet, les Anglais, qui sont les plus grands consommateurs de brandies et de vins importés dans les pays ennemis de l’époque, ont trouvé que cette boisson est parfaite pour remplacer les produits traditionnels.
Le rhum espagnol, connu sous le nom de « ron » ou « rhum cubain » est fabriqué principalement presque dans tous les anciens pays colonies espagnoles : Porto Rico, Cuba, la République Dominicaine ou Venezuela et dans d’autres pays d’Amérique. Le rum et ron ont le même processus de fabrication, sauf que le ron ne passe que par une seule distillation. Cette catégorie de rhum est la plus consommée au monde. En effet, elle est facile à avaler pour les novices et amateurs grâce à son goût doux et légèrement sucré. Ce rhum est également le plus utilisé dans les cocktails. Par ailleurs, produit à partir de mélasses, il est à noter que cet élixir est majoritairement fabriqué à Cuba qui était l’un des plus gros fabricants de sucre dans le monde entier. Et il est évident qu’il est doté d’usines de ron, vieux ou blanc, et adopte une nouvelle procédure de fabrication afin d’optimiser amplement la qualité du rhum. C’est de là qu’est né le « Ron Superior ». Pour cela, Cuba est devenu le troisième plus grand fournisseur de ron après la Martinique et la Guyane
Il y a fort longtemps, le rhum est uniquement fabriqué à partir d’un sous-produit de fabrication sucrière ou de mélasses. Plus tard, le rhum agricole apparaît, sous le nom de « rhum z’habitant » aux Antilles françaises. Cet alcool est uniquement issu de pur jus de canne à sucre ou de vesou. C’est la vraie eau de vie. Il provient principalement des zones d’influence française : la Guadeloupe et la Martinique (qui ont commencé à élaborer du rhum agricole), les Antilles françaises, Marie-Galante, …. Mais, seul le rhum agricole de la Martinique a obtenu le cadre légal de fabrication ou AOC (Appellation d’Origine Contrôlée), au même titre que celui de brandy. Il est à consommer blanc mais peut être vieilli en fût pour obtenir une coloration ambrée peu ou prou foncée que l’on appelle rhum vieux. Toutefois, que ce soit rhum, rum et ron, ce nectar ne doit pas être bu à plein gosier mais de façon épisodique et probablement conviviale et festive.
Déguster un rhum est pour les débutants considéré comme un cérémonial complexe à accomplir dans le respect des règles de l’art. Pourtant, c’est un plaisir convivial et simple sans pour autant montrer une trace de snobisme. Pour profiter au mieux la dégustation d’un rhum, il suffit de suivre quelques petites astuces.
Déguster du rhum requiert la détermination de son intensité, sa brillance et de sa limpidité. Pour y parvenir, vous aurez besoin de la vue. Cet organe sensoriel vous permet également de vous y déceler avec un peu d’expertise la richesse, la corpulence de votre punch. Du brun au blanc, le rhum peut vous diriger partout au moment d’une dégustation. En effet, c’est la teinte que vous allez remarquer tout de suite. Et pour qualifier une couleur, voici celles qui sont les plus servies le plus souvent : acajou, cuivre, vieil or, jaune orangé, doré, jaune d’or, paille, jaune pâme, transparent. Dans ces couleurs, vous allez en trouver une qui correspondra avec votre bouteille. Pour définir précisément la limpidité de votre boisson, vous pouvez utiliser les termes comme cristallin, limpide, transparent, opalescent, laiteux, flou, voilé ou trouble.
Faites appel à votre organe de goût lorsque vous allez déguster du rhum. Quand vous citez le goût, vous évoquerez souvent le goût primaire. Il existe en général quatre différentes sortes de goûts de base qui sont l’acide, l’amer, le salé et le sucré. En effet, le rhum ainsi que la dégustation font appel non seulement de ces éléments, mais également des arômes. Et c’est qui permet principalement de définir un rhum en termes plus complexes que les quatre saveurs principales. Ouvrez grandement votre bouche et préparez-vous à boire votre succulente découverte. C’est à cet instant que vous allez pouvoir noter d’un côté le corps et la texture de votre rhum et de l’autre la stabilité entre les différents goûts de base.
Sachez également qu’un bon alcool va attirer immédiatement l’attention en moyen de l’odorat. C’est principalement le sens le plus précis et le plus développé. En tant que stimulateur très puissant, votre nez va reconnaître de suite une multitude de goûts avec un peu d’entraînement. Pour mieux appréhender comment déguster du rhum, il s’avère indispensable de savoir s’il pique ou brûle au nez. Pour cela, observez toutes les sensations produites par la boisson non diluée. C’est de cette sorte que vous arriverez à bien cerner le bouquet et les arômes. Il s’avère primordial de retenir que les premières sensations comptent beaucoup lors de la dégustation d’un rhum. Pour en profiter davantage, faites tourner votre boisson dans le récipient et sentez-la minutieusement en retenant les impressions de départ.
La première chose que vous devez savoir si vous vous intéressez au rhum, c’est qu’il en existe deux types : le rhum traditionnel et le rhum agricole. Ce sont toutes des boissons alcoolisées à base de la canne à sucre, mais elles se différencient par leur procédé de fabrication.
L’histoire du rhum est étroitement liée à celle de la canne à sucre. Auparavant, les Européens avaient pour habitude d’utiliser le miel pour sucrer leurs aliments, mais avec l’arrivée des planteurs hollandais en Guadeloupe en 1654 a changé l’histoire. Au début, ils ont fabriqué une industrie sucrière pour renforcer la puissance économique, mais la découverte de la betterave a causé la chute du sucre. C’est pourquoi ils se sont tourné vers un autre marché, d’où la naissance de l’industrie du rhum. Quant au rhum agricole, ce sont les Antillais qui l’ont trouvé en premier, ce qui les a amené à laisser tomber la mélasse pour la fabrication. D’un autre côté, ce sont les Réunionnais qui ont utilisé leur savoir-faire pour améliorer la préparation.
Le rhum agricole est obtenu par la distillation du jus de canne, aussi appelé vesou en créole. Pour faciliter et accélérer la production, les cannes sont souvent cultivées à proximité de la distillerie. C’est très important parce que le broyage doit être réalisé aussitôt que possible après sa découpe, pour obtenir le cœur des arômes. Pour le type agricole, le vesou doit être fermenté environ deux jours avant d’être distillé. Cette technique permet de garder la fraîcheur et la qualité des arômes contenu dans la boisson. Avec son parfum d’une rare finesse, le rhum agricole est parfait pour la dégustation pure. De nos jours, la Martinique est désormais la région la plus connue pour sa production.
La fabrication du rhum agricole se fait en plusieurs étapes. D’abord, il faut faire le pressage de la canne à sucre, afin d’en tirer le jus. Il existe deux méthodes pour y parvenir, ce qui différencie la qualité du rhum obtenu (à partir de la mélasse ou du vesou). Ensuite, il faut passer à la fermentation, une autre étape très importante dans la fabrication. Dans cette partie, on ajoute des levures à la matière obtenue pour qu’elle se transforme en alcool. Après cette étape, il faut passer à la distillation, un procédé qui consiste à chauffer le liquide fermenté pour séparer l’eau de l’alcool et des composants aromatiques. Le rhum obtenu à ce moment possède encore un degré d’alcool relativement élevé (70 °). Le vieillissement est la dernière étape de la fabrication. Il n’est pas obligatoire, mais améliore la qualité des arômes contenus dans la boisson.
Le rhum figure parmi les alcools les plus achetés en France. C’est une eau de vie obtenue à l’aide du processus de la distillation. Ce produit trouve sa qualité grâce aux longues étapes de sa conception. Récemment éclipsé par d’autres alcools, il revient en force tout en offrant un rapport qualité/prix particulièrement intéressant. Zoom sur l’élaboration du rhum pour avoir quelques idées de sa valeur et du goût qu’il peut avoir ?
Tout d’abord, il est à préciser qu’il existe deux meilleurs moyens de fabriquer du bon rhum. En effet, il y a le rhum industriel qui est conçu à l’aide de la mélasse, ainsi que le rhum agricole à base du jus de canne. Cependant, la majeure partie est issue de la mélasse. La fabrication du rhum dépend de la canne à sucre utilisée comme matière première. La perfection de votre rhum se base sur sa qualité et sa variété. La levure et l’eau sont aussi des produits essentiels. Ainsi, pour débuter le processus de fermentation, il faut les mélanger avec la canne à sucre. Les souches de levures spécifiques sont les plus recommandées pour assurer une meilleure production. Il faut comprendre que la fermentation est l’étape la plus cruciale pour obtenir une saveur unique.
Cette étape garantit l’obtention du dosage adéquat pour la fabrication du rhum. Ce processus favorise la dissociation des différents constituants d’un mélange homogène. Ensuite, il y a le principe de condensation qui permet d’obtenir le distillat grâce aux vapeurs. De ce fait, la distillation de la décantation est une nécessité afin d’atteindre un certain degré d’alcool.
Le passage du liquide dans la colonne de distillation permet de dissocier l’alcool des autres composants, et la transformation des vapeurs d’alcool en fines gouttelettes par condensation va produire un liquide concentré. C’est en respectant chaque étape de ce processus que vous parviendrez à obtenir du rhum blanc.
Le vieillissement est un procédé essentiel à la fabrication du rhum. La conception d’une gamme de rhums vieux se fait dans des foudres ou fûts. Plusieurs consommateurs réclament le vieillissement du rhum pour un délai d’au moins un an. La majorité de ce processus se réalise dans des fûts de bourbons usagés. Aussi, certains fournisseurs utilisent des fûts en bois ou des réservoirs en acier inoxydable. Il est à préciser que le choix des matériels utilisés aura une influence sur la couleur du produit fini. Vous obtiendrez une couleur très sombre en usant d’un fût de chêne. Par contre, votre rhum gardera une couleur transparente, si vous choisissez de le vieillir dans des cuves inox.
Le mélange est important pour garantir une saveur constante. Cela est possible après avoir vieilli le rhum. Ainsi, l’assemblage est l’étape finale du procédé de fabrication du rhum.
Globalement, il faut dire que le processus de fabrication du whisky comporte sept étapes essentielles. Chacune de ces étapes fait appel à une opération plus ou moins complexe et spécifique entrant dans le cadre du procédé de production du whisky. Entre autres, il y a le maltage, le broyage, le brassage, la fermentation, la distillation, le vieillissement et la mise en bouteille. Par ailleurs, avant de donner des précisions à propos de l’ensemble des aspects techniques de la procédure adoptée pour l’élaboration d’un whisky, il convient de noter que l’intégralité de la durée de traitement ainsi appliquée tourne autour de trois ans.
En fait, c’est le délai de séjour de rigueur de l’alcool de malt au sein d’un fût de chêne durant cette longue période qui caractérise la spécificité du whisky. Dans tous les cas, il y a lieu de remarquer qu’une ressemblance peut être identifiée au même titre que le procédé utilisé dans la fabrication d’autre eau de vie de ce genre. Toutefois, il suffit de considérer la base de la matière première employée pour se rendre compte de la différenciation de la technique de fabrication s’y rapportant. Généralement, c’est l’orge qui domine dans la totalité des ingrédients les plus usités dans ce sens. Bien entendu, il ne faut pas aussi omettre d’évoquer que l’eau constitue, également, parmi les éléments principaux employés, et, notamment au cours de la phase de brassage du whisky. Ce qui introduit la suite de l’analyse à l’évocation du principe de base de cette phase essentielle que doit passer la production proprement dite.
En réalité, à l’issue d’un broyage du malt en farine grossière au sein d’un moulin à grain, il est mélangé ensuite à de l’eau suffisamment chaude. C’est, justement, ce brassage à l’eau qui autorise l’extraction de l’amidon soluble dans le mélange. Bien évidemment, l’opération s’effectue dans une cuve en acier ou en fonte munie des pales tournantes, connues sous la dénomination de « mash tun ». Pour des raisons pratiques, les résidus émanant du mélange eau-malt ou « wort » sont brassés à plusieurs fois pour l’obtention d’un jus sucré caractérisant l’étape du brassage en question. Une fois après ce stade, le processus passe à la phase de la fermentation, de la distillation et bien d’autres encore.
En effet, un rajout de la levure permet l’activation de la fermentation du « wort » ou du « moût », selon l’appellation adoptée. Dans cette optique, l’action chimique de la levure fait transformer le « moût sucré » initial en une bière de malt. Ce nouveau mélange renferme de l’alcool et du gaz carbonique. Ensuite, il vient la phase de la distillation. Durant celle-ci, la séparation de l’alcool du mélange contenu dans les cuves de fermentation s’effectue à l’aide d’un alambic. C’est, en réalité, la phase déterminante du processus du fait que c’est pendant laquelle que se forge la spécificité du whisky. Quoi qu’il en soit, l’étape du vieillissement revêt aussi une importance majeure dans la différenciation du whisky, et plus particulièrement, dans la formation de ses arômes et de la modification de ses textures.
Le whisky, une eau-de-vie de céréales qui se compose toujours de trois ingrédients qui sont l’eau, les céréales et les levures. Une eau de grande qualité est indispensable lors de la fabrication du whisky, elle influe sur la fermentation et engendre la dilution du distillat avant l’embouteillage. La céréale également une place importante dans l’élaboration du whisky. Elle détermine le type du whisky et sa palette aromatique. L’orge est la céréale la plus répandue.
Il existe de nombreuses variétés d’orges pour la fabrication du whisky. La plus célèbre des temps anciens était constituée d’un épi de deux rangs de grains, mais la plus utilisée aujourd’hui est l’orge qui possède six rangées de grains. Toutefois, l’orge dans le whisky ne cesse d’évoluer. Il est donc essentiel de faire un judicieux choix en matière d’orge durant la préparation de l’alcool, car tous les types d’orges ne favorisent pas une bonne production. Par exemple, il est recommandé d’employer l’orge riche en protéines pour ravitailler le bétail et pour la composition du whisky en grains. L’orge riche en amidon est utilisée par les brasseurs et les distillateurs pour l’élaboration du whisky de malt. L’orge tient donc une place importante dans la fabrication du whisky.
L’orge est une céréale à paille, plante herbacée. Après la récolte, l’orge est trempée pendant 2 à 3 jours, puis, les brasseurs l’étalent sur un sol en béton afin de favoriser la germination qui peut nécessiter environ de 6 à 12 jours, d’après la qualité de l’orge et les conditions environnementales. Durant cette étape, l’orge est brassée régulièrement, et l’enzyme secrétée, la diastase, permet à l’amidon d’être soluble et de se transformer en sucre. Généralement, la phase de germination est stoppée par séchage de l’orge, qui est effectué par un feu de charbon auquel les brasseurs additionnent de la tourbe pour les whiskys fumés. Quand cette tourbe est brûlée, certains de ses éléments adhèrent au malt. Lorsque l’orge est maltée et séchée, elle est ensuite broyée, puis mixée avec de l’eau chaude dans un récipient spécial en vue d’être transformé en un liquide sucré. L’orge dans le whisky apporte donc un effet primordial sur la saveur du whisky élaboré.
D’un point de vue générale, il faut environ 11 litres d’eau et 1,4 kilo d’orge pour produire une bouteille de whisky. De ce fait, il est nécessaire d’installer une distillerie près d’une source d’eau abondante et de qualité, afin de faciliter la production du whisky. L’orge dans le whisky joue donc un rôle important dans l’élaboration du whisky. Elle donne une saveur unique au whisky !